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LE CLUB DE LA SEMAINE : SQUASH HÉROS 34 (BAILLARGUES)

Promotion 30/04/2021

Les structures et associations sont de véritables partenaires de la Fédération au quotidien, et nous mettons en avant ceux qui contribuent le plus au rayonnement du squash dans notre rubrique "Le club de la semaine".

Pour ce trente-neuvième épisode, on prend la direction de la métropole Montpelliéraine, à la découverte du Squash Héros 34 à Baillargues.

Article de Jérôme Elhaïk

PRÉAMBULE

Créé en 2003, le BB Squash de Baillargues a été géré par Philippe Klein entre 2006 et 2018, et a connu de très belles heures pendant cette période (voir PALMARÈS ET GRANDES DATES). Le club, qui a ensuite pris le nom de Squash Héros 34 et deviendra bientôt Squash Heroes, est repris par deux amis, Raphaël Bouchet et Thomas Dardonville. Mais ce dernier, accaparé par le développement de sa société de plâtrerie ainsi que la naissance de son premier enfant, n'a pas été en mesure de s'investir autant qu'il ne l'aurait souhaité. Au début de l'année 2020, il cède ses parts à Maxime Naffah, aujourd'hui actionnaire majoritaire de la structure.

UN NOUVEAU DÉPART

Dans le langage courant, Maxime Naffah est ce qu'on appelle un baroudeur, et ce n'est pas la lecture de son CV qui dit le contraire.

Né au Liban, il arrive en France avec sa famille à l'âge de 13 ans. Diplômé de la faculté des sciences économiques de Montpellier, il va ensuite connaître de multiples expériences professionnelles. Tout d'abord tour opérateur spécialiste des séjours au sports d'hiver, il est ensuite directeur d'une agence bancaire à Baillargues. Clin d'œil amusant, son établissement est impliqué dans le rachat du club dont il est aujourd'hui le gérant ... La suite de son parcours s'effectuera loin de l'Hérault : gérant d'un établissement hôtelier en Guadeloupe de 2007 à 2011, il émigre ensuite vers l'île de Saint-Barthélémy (dans les Caraïbes), où il va exercer dans des domaines aussi divers que la restauration, le courtage financier et les produits bio. Alors, pourquoi le squash ? « J'ai découvert ce sport vers l'âge de 15 ans, » raconte ce jeune quinquagénaire. « On avait reçu un ticket pour une séance d'essai gratuite, et on y avait été avec des copains. Ça m'avait beaucoup plu, mais comme je n'avais pas les moyens, je n'ai pas continué. » Quelques années plus tard, Maxime Naffah va renouer avec la petite balle noire, « sur les courts pourris d'un hôtel (rires), et après on allait squatter le jacuzzi ... » Au milieu des années 2000, il fréquente les parquets du BB Squash de Baillargues et goûte même brièvement à la compétition. « Ensuite, je n'ai pas du tout joué pendant une dizaine d'années, car il y a très peu de courts en Guadeloupe et aucun à Saint-Barth, » regrette-t-il. « Ça a engendré une certaine frustration, car parmi les nombreux sports que j'ai pratiqués le squash est celui que je préfère. J'aime l'engagement des joueurs sur le terrain, ainsi que les moments de partage lors des troisièmes mi-temps ... Lorsque je suis revenu au club en 2019, j'ai d'ailleurs retrouvé pas mal d'anciens, qui étaient toujours là. » En quête d'un nouveau challenge, il se jette sur l'occasion lorsqu'il apprend que Thomas Dardonville cherche à revendre ses parts. « Ça s'est finalisé très rapidement, en février 2020 tout était bouclé. » Pas le meilleur timing pour démarrer une nouvelle aventure pourrait-on penser, mais Maxime Naffah voit plutôt le premier confinement « comme un mal pour un bien. Les courts étaient en parfait état, en revanche le reste le club n'avait été pas été rénové depuis près de vingt ans et avait besoin d'un coup de jeune. »

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Maxime Naffah s'est pris d'amour pour la petit balle noire, au point de lui consacrer une chanson ... (Crédit photo : Maxime Naffah)

Bricoleur dans l'âme, il met la main à la pâte, notamment pour l'aménagement d'un étage auparavant laissé à l'abandon. Ce ne sera finalement pas un escape game, option envisagée pendant un temps, mais une salle pour le billard (« J'ai remarqué que les bons joueurs de squash le sont généralement aussi au billard, sans doute une histoire d'angles ... »), ainsi que les jeux de société et la lecture de bandes dessinées. Des idées pour dynamiser sa structure, Maxime Naffah n'en manque pas. Il y a par exemple l'organisation d’échanges avec des clubs du monde entier, dans le cadre de stages alliant squash et tourisme. Il aurait également souhaité que le sien soit le premier dans l'hexagone à se doter de la technologie interactiveSQUASH, mais la crise sanitaire a remis ce projet plus tard. « Je tiens à souligner que la société Fun with Balls a été très compréhensive, notamment en nous rendant l'acompte qu'on avait versé, » témoigne-t-il. « J'espère que ce n'est que partie remise, car je pense que ça peut amener des jeunes vers notre discipline. Il ne faut pas se voiler la face, en vingt ans, la moyenne d'âge de la population du squash a augmenté de dix ans ! Si je regarde la situation chez nous, il n'y a pratiquement personne dans la tranche d'âge 18-35 ans. Cela fait de nombreuses années qu'on a de très grands champions, pourtant notre sport n'a pas de reconnaissance. Ça n'est pas facile car en France il y a une très grande offre en matière de sports, notamment indoor, néanmoins il faut se battre pour se faire une place. » Le co-gérant du Squash Heroes attend maintenant la réouverture avec impatience, afin de pouvoir faire profiter le club de son dynamisme. « On manque encore de visibilité sur les dates, » nuance-t-il. « Ma femme est médecin, et je suis donc pleinement conscient qu'il faut se méfier d'une éventuelle quatrième vague, des variants etc. De toute manière, l'été est généralement une période très calme, il faut donc se focaliser sur le mois de septembre. Concernant la reprise, je suis optimiste : dans notre clientèle, il y a beaucoup d'artisans, qui depuis un an ont travaillé mais n'ont pas dépensé leur argent, leur pouvoir d'achat a donc augmenté. »

WE CAN BE HEROES ... Maxime Naffah est un touche-à-tout : six mois après avoir commencé à chanter, il s'est lancé dans l'enregistrement d'un morceau dédié à son sport favori. « Il y a un couplet en Arabe, » raconte-t-il. « C'est évidemment une dédicace à l'Égypte, la nation dominante de la discipline, et c'est aussi une région du monde que je connais très bien. Nous avons produit un premier clip avec les moyens du bord, mais si des joueurs de haut niveau veulent participer à un tournage, ils sont les bienvenus ! » La connexion entre squash et musique ne s'arrêtera pas là à Baillargues : toujours dans l'optique de diversifier les activités de son club, Maxime Naffah a acheté le matériel adéquat et souhaite organiser des concerts au Squash Heroes, dès que ce sera possible ...

UN CLUB, UN COACH : RAPHAËL BOUCHET

Après une belle carrière en junior, Raphaël Bouchet a réalisé son rêve en reprenant un club de squash, au sein duquel il est également entraîneur. Portrait. 

Les débuts

« J'ai commencé le squash à l'âge de sept ans, au club du Country à Montpellier. Ma mère était une collègue de travail de la femme de Dominique Fontanon (NDLR : vice-président de la FFSquash, et qui a été président des ligues Languedoc-Roussillon puis Occitanie pendant vingt-huit ans), leur fils Stéphane jouait et je l'ai suivi. J'ai disputé ma première compétition à huit ans et j'ai été vice-champion de France en poussins, quand on a des résultats rapidement en jeunes ça encourage à continuer ... Ensuite, Benoît Letourneau et Thierry Le Bihan, m'ont vu jouer lors d'un tournoi jeunes à La Rochelle et ont remarqué ma détermination. Ils m'ont proposé de faire partie du pôle espoirs du Mans, dont ils s'occupaient. Je l'ai donc intégré à 13 ans, comme c'était inhabituel de partir aussi jeune j'étais hébergé par une famille d'accueil et non en internat. »

Un beau parcours

« Dans ma génération, il y avait notamment Pierre Canto et Grégory Gaultier, qui a un an de plus que moi et que je retrouvais en demi-finale un an sur deux. J'ai été champion de France -17 ans, j'étais d'ailleurs licencié à Baillargues cette année-là : pour l'anecdote, j'ai retrouvé ma médaille en faisant du rangement après avoir repris le club ... J'ai également participé au championnat d'Europe de cette catégorie avec l'équipe de France. À ce moment-là, faire une carrière professionnelle était dans un coin de ma tête. Mais ça ne s'est pas réalisé, pour plusieurs raisons : comme je disais précédemment, je suis parti de chez moi très jeune et ça a été dur. Quelque part, je pense que j'ai été un peu dégoûté du haut niveau. Ensuite, en remportant ce titre de champion de France, en jouant en sélection et en devenant 1ère série quelques années plus tard, je crois que j'avais atteint les objectifs que je m'étais fixé. »

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Ancien champion de France -17 ans, Raphaël Bouchet a réalisé son rêve en devenant gérant du club de Baillargues (Crédit photo : Squash Heroes)

Un rêve d'enfant

« J'ai travaillé dans plusieurs secteurs (la vente, le carrelage etc.), mais m'occuper d'un club de squash a toujours été un rêve. L'opportunité de reprendre celui de Baillargues à l'été 2018 s'est présentée au bon moment, car mon travail ne me plaisait plus trop. Ensuite, Thomas Dardonville n'a pas eu trop le temps de s'investir, et Maxime est arrivé un peu comme le sauveur (rires). Même s'il aime le squash, il est moins passionné que moi : il apporte ce côté gestionnaire, alors que je me concentre davantage sur l'aspect sportif (avec les animations, les tournois etc.). Avec la crise sanitaire, j'ai pris un boulot de manutentionnaire car il faut bien payer les factures ... J'en ai discuté avec Max, qui est maintenant actionnaire majoritaire : je pense que dans un premier temps je vais garder quelque chose à côté, tout en essayant de finir tôt pour m'occuper des entraînements, et on verra d'ici un an ou deux s'il y a la possibilité que je sois à temps plein au club. »

Les temps changent

« En période hors-covid, mon travail d'entraîneur au club représente huit heures par semaine, avec les adultes et quelques enfants. (On lui demande comment faire, selon lui, pour attirer des jeunes vers le squash). Il faut aller les chercher par la culotte (rires) ! Mais aussi proposer des animations, des séances d'essai gratuites, aller démarcher les établissements scolaires etc. C'est un boulot à temps plein, que je ne pouvais absolument pas entreprendre lorsque j'étais seul avant l'arrivée de Max : je devais m'occuper de l'accueil, de l'entretien des locaux etc. Il y a d'autres facteurs, et je pense que les jeunes ont moins la gnac qu'à mon époque. Je me souviens aussi que de nombreux parents nous accompagnaient sur les tournois tous les weekends, aujourd'hui c'est moins facile d'en trouver qui souhaitent s'investir autant ... »

L'ASSOCIATION HOBBY SQUASH

Aujourd'hui, le Hobby Squash de Baillargues repose principalement sur les épaules de deux femmes : sa présidente Céline Contet, et Marie-Pierre Aujoulat.

« J'ai découvert le squash en 2008, car j'habitais à 300 mètres du club, » raconte la trésorière de l'association. « Dans un premier temps, j'ai joué en loisirs, puis j'ai commencé la compétition. En 2014, le bureau est parti et comme personne ne voulait reprendre, on s'est lancées avec Clémence Peyron. » Accaparée par de multiples activités, celle-ci quitte son poste et est remplacée par Céline Contet en 2019. « Je lui ai un peu forcée la main, » rigole Marie-Pierre. « Plus sérieusement, je lui ai demandé parce qu'on s'entendait bien, et que j'ai senti chez elle l'envie de s'investir. » Le squash, Céline l'avait découvert en 2014 chez les voisins du MSH. « Mon passé de joueuse de tennis m'a permis de me débrouiller assez rapidement, et j'y ai pris goût, » raconte-t-elle. « Avec les autres filles, on disputait pas mal de compétitions et on croisait celles du Hobby Squash, Marie s'entraînait même assez souvent chez nous afin d'avoir des partenaires de son niveau. Comme il y avait peu de filles dans les deux clubs, on a décidé de se rassembler et de toutes jouer pour Baillargues. » En raison de la crise sanitaire, Céline Contet n'a vécu qu'une demi-saison à son poste de présidente, « juste le temps d'organiser deux ou trois tournois (jeunes et adultes) et de démarrer les cours collectifs, des choses que Marie avait mises en place depuis quelques années (il faut souligner qu'elle gère énormément de choses, de mon côté je fais de mon mieux pour l'aider notamment avec certaines tâches administratives ...). Ça fait maintenant plus d'un an qu'il ne se passe presque rien, malgré une brève reprise à l'été 2020 lors de laquelle on était simplement contents de retaper un peu la balle. C'est d'autant plus dommage qu'il y avait une nouvelle équipe très motivée au sein du comité départemental CDSH34 (NDLR : son président Samuel Breton est aussi celui de la ligue Occitanie et de l'association SLAM, hébergée à Baillargues depuis la fermeture du 5R). Ils avaient notamment lancé le principe du Best Game Challenge, c'est-à-dire une soirée par mois regroupant les clubs sous forme de rencontres par équipe. » 

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Céline Contet et Marie-Pierre Aujoulat (première et deuxième en partant de la gauche) apportent leur dynamisme à l'association Hobby Squash (Crédit photo : Hobby Squash)

« Le club étant fermé, c'est très compliqué de garder un lien avec les adhérents, » indique Marie-Pierre Aujoulat. « La crainte, c'est d'avoir du mal à les récupérer à la reprise. Pas forcément chez les filles car il y a un noyau dur, mais les équipes masculines sont un peu "vieillissantes". » « Ils sont peut-être moins motivés par la compétition que dans le passé, » ajoute son acolyte. « Nous organisons tout de même les ans trois opens (hiver, printemps, été), les tableaux sont toujours bien remplis et il y a de plus en plus de femmes. À force de vadrouiller dans les tournois de la région, et de participer aux championnats de France vétérans, on connaît pas mal de monde (rires) ... En 2019, on s'était dit qu'on aimerait bien organiser un gros open féminin, avec 16 voire 32 participantes, dans les deux ou trois années à venir. C'est évidemment en standby pour l'instant, on va déjà voir comment se déroulent les tournois à la reprise, et on se projette sur celui de décembre 2021. » Elles comptent s'appuyer sur le dynamisme du nouveau gérant Maxime Naffah, qu'elles n'ont quasiment pas encore pu côtoyer. « Il a plein d'idées, » confie Céline Contet. « Elles ne sont pas que liées au squash, mais peuvent amener du monde et il faudra justement en profiter pour essayer de recruter de nouveaux adeptes. Surtout des enfants, ce qui nous permettrait de relancer l'école de jeunes ... Il a également bien aménagé les locaux pour en faire un endroit sympa, ça peut être un facteur pour attirer du monde sachant qu'il y a pas mal d'entreprises aux alentours. De toute façon, nointérêts sont communs : plus le club a de membres, plus ça permet d'alimenter les équipes de l'association, et si on fidélise nos adhérents c'est bénéfique pour la structure. »

PALMARÈS ET GRANDES DATES 

Comme évoqué plus haut, le BB Squash et l'association Hobby Squash, avec à sa tête Jean-Guillaume Alvarez, ont organisé de très beaux évènements au début des années 2010.

☛ Tout avait commencé en mars 2010 avec une exhibition mémorable entre un ancien champion du monde, Thierry Lincou, et un autre joueur qui ne l'était pas encore, Grégory Gaultier. Dans le même temps, Mathieu Castagnet remportait le tournoi "PSA Closed" face à Grégoire Marche.

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Le BB Squash de Baillargues avait connu un gros évènement en 2010 avec la venue de Grégory Gaultier et Thierry Lincou (Crédit photo : SiteSquash)

☛ L'année suivante, le BB Squash organise un open international (doté de 5 000 $), qui est une très belle réussite. En finale, Grégoire Marche s'impose face à Joan Lezaud. De retour dans le club de ses débuts, ce dernier avait sorti au tour précédent un certain Thierry Lincou, handicapé par une blessure. On ne le savait pas encore, mais c'était son dernier tournoi PSA en France ...

☛ Ayant tissé des liens privilégiés avec le club Héraultais, Thierry Lincou va contribuer à l'organisation d'un énorme évènement : en avril 2012, il participe à un tournoi exhibition à Baillargues en compagnie de James Willstrop, Grégory Gaultier et Nick Matthew, soit les numéros 1, 2 et 3 mondiaux ! 

☛ Côté palmarès, nous en parlions également précédemment : Raphaël Bouchet avait apporté à l'association Hobby Squash son premier titre national en 2000, en devenant champion de France -17 ans. Cette performance lui vaudra d'être sélectionné pour le championnat d'Europe avec les Bleuets (aux côtés de Mehdi Renai, Arnaud Foissac, Anaïs Alamichel et Marion Lormant), avec une dixième place à la clé.

☛ Licenciée à Baillargues depuis un peu plus de deux ans, Chantal Pouget a conservé son titre de championne de France +55 ans en 2019 (elle était auparavant pensionnaire du Montpellier Squash Hérault). Membre du top 10 national pendant la majeure partie des années 90 (avec une pointe à la 5ème place), elle avait ensuite mis le squash entre parenthèses avant de revenir à la compétition, « pour le plaisir, » en 2008.

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Chantal Pouget a remporté deux titres de championne de France +55 ans, dont un sous les couleurs du Hobby Squash en 2019 (Crédit photo : FFSquash)

☛ L'édition 2019 du championnat de France vétérans avait été particulièrement fructueuse pour Baillargues, avec la médaille de bronze de Raphaël Bouchet en +35 ans. Le club est toujours bien représenté lors de cette épreuve phare du calendrier hexagonal, ainsi que lors du championnat de France vétérans par équipe qui se déroule en début d'année civile.

☛ Depuis 2015, le club Héraultais a également eu de bons résultats chez les jeunes : le trio Manon Aujoulat, Romain Morandeau, Baptiste Ribault a participé trois fois au championnat de France Interclubs -13 ans, et a décroché une superbe quatrième place en 2018. Ils ont également été sélectionnés à plusieurs reprises pour les championnats de France Interligues, et Manon avait grandement contribué à la médaille de bronze de l'Occitanie en 2019, en remportant cinq de ses six matches.

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L'équipe -13 ans de Baillargues avait obtenu une superbe quatrième place au championnat de France en 2018 (Crédit photo : Midi Libre)

☛ Sur le plan individuel, le meilleur résultat de Manon Aujoulat est une quatrième place au championnat de France -13 ans, en 2019. Elle avait fini 9ème pour sa première année en -15 ans, alors que l'édition 2020-2021 n'a pas encore eu lieu en raison de la crise sanitaire. De son côté, Romain Morandeau avait fini 10ème en -11 ans, en 2015.

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Rendez-vous vendredi prochain pour le quarantième épisode du "Club de la semaine", qui sera consacré au Squash Center SA à Seyssinet Pariset.

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